Aristolochia littoralis

Aristoloche côté court et côté jardin

Voici deux aristoloches prises à deux endroits différents.

Côté cour(t) (de tennis) vous aurez reconnu les fabuleuses Serres du Jardin d’Auteuil, avec une Aristolochia littoralis d’Amérique Centrale (je lis la petite pancarte verte).

Côté jardin (en extérieur),  une autre aristoloche de mon coin de verdure, plus rustique dont j’ignore le nom mais qui est aussi élégante avec ses vrilles très compliquées.

Aristoloche côté jardin
Aristoloche côté jardin

Dans un théâtre il faut se placer face à la scène et écrire les initiales de Jésus-Christ dans l’espace, le côté Jardin est donc à gauche et le côté Cour à droite.

Merci à mon ami Philippe pour ce petit cours de Théâtre que je n’ai pas oublié 🙂

5 réflexions sur « Aristoloche côté court et côté jardin »

  1. BOnjour YAnn,
    ne me parle pas d’aristoloche, arghhh, je viens de passer une demi-journée à « désentortiller » trois pieds qui avait pris pendant mon absence et qui sont montés à l’assaut de mes grands hortensias (plus de 2,5 m), enserrant toutes les branches ! Je trouvais mon massif bizarre de loin, jusqu’à ce que j’aie aperçu les vrilles, puis découvert les feuilles et les boutons. J’ai tout arraché pour sauver mes hortensias, mais l’idée m’est venue d’en mettre ailleurs, pour couvrir un poteau, car je trouve leurs feuilles plutôt jolies même si les fleurs sont assez insignifiantes (celui dont je parle est ton aristoloche côté jardin), en tout cas, la croissance a l’air très rapide ! Celle d’Amérique centrale a des fleurs originales, je vais voir si j’en trouve en jardinerie !

  2. Depuis ma tendre enfance, je suis fascinée par cette fleur…
    Merci Yan pour l’astuce mnémotechnique, je n’oublierai plus!
    Je te souhaite un agréable dimanche

  3. Ce weekend je n’étais pas connecté, mais j’ai quand même pris quelques photos.

    Merci Cathline, Colibri et Kenza pour les témoignages de votre passage, c’est toujours plus sympa de discuter avec ses lecteurs.

    Colibri, je sais que les Hortensias en Bretagne sont une vraie institution et que l’aristoloche ira se faire pendre ailleurs. Je ne suis pas sûr que l’Aristolochia littoralis puisse prendre hors serre, mais avec le climat breton tout est possible.

    Kenza, en dehors des orchidées, j’ai moi aussi une fascination pour les lianes. Ma vanille est d’ailleurs ma plus grande fierté, même si elle ne fera jamais de fleurs. Cette plante verte (oups) fait de véritables cordes (re-oups), des racines qui tombent jusqu’au sol et que mon lapin (re-re-oups) vient grignoter.
    Ce n’est pas facile de parler dans un théâtre, il y a pleins de mots qui sont interdits.

    1. Bonjour Cathline,

      Dans mes livres, je n’ai pas de description de l’Ophrys fausse-bécasse mais tu peux le voir sur ce blog très bien documenté :
      http://monerbier.canalblog.com/archives/2011/01/27/20230406.html

      Tu peux également déposer ta photo sur un forum comme celui-ci :
      http://www.orchidspirit.com/

      Enfin si tu veux mon avis, les Ophrys sont des orchidées qui ont la capacité de s’auto-féconder, ce qui peut donner des variations génétiques assez importantes et compliquer une identification.

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